C’est avec une infinie tristesse que nous avons appris le décès de notre camarade et ami Jacques Maxch. Avec sa disparition, les socialistes gersois perdent l’un de leurs plus fidèles militants. Je tiens à rendre hommage à celui qui fut également l’un des artisans, dans l’ombre, de la reconquête par la gauche du département du Gers aux élections cantonales de 1998. Socialiste parce que viscéralement progressiste et humaniste, Jacques Maxch incarnait la fidélité inébranlable aux valeurs de sa famille politique.
Responsable de la fédération du Gers pendant de nombreuses années, il a été de toutes les batailles politiques et électorales menées par le Parti socialiste dans le département. La finesse de ses analyses était particulièrement appréciée par ses camarades.
Homme de l’ombre sans être courtisan, discret et efficace, il était un conseiller avisé et écouté par les élus.
J’adresse à son épouse, à ses enfants et petits-enfants, les condoléances attristées de toute la famille socialiste. Avec sa disparition, je perds un camarade, je perds surtout un ami.
Michael Aurora
Premier secrétaire de la fédération du Gers
du Parti socialiste